Bonjour à tous,
Pour tous les petits chanceux qui, comme nous, résident à Noirmoutier toute l’année (ou une bonne partie en tout cas…), il est encore temps de profiter de l’été indien – la lala lalalala la lalala… ??? comme dirait Jo Dassin?, l’idole de mon enfance, et de la vôtre aussi, ne mentez pas – mais aussi des rencontres à la librairie !!
Alors, demain, samedi 29 septembre, à 17h00, soyez tous là pour « The Rencontre Noirmoutrine of the saison », avec Michel Adrien.
Michel Adrien, tout le monde le connait sur l’île : petit mousse de l’Epine devenu grand patron, il décide, un beau jour (alors qu’il a enfin pris sa retraite), d’écrire l’histoire de sa vie, afin de laisser une trace de son incroyable parcours à ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits enfants (et peut-être à ses poissons rouges aussi, je suis sûre qu’il en a, des petits turbots à ce qu’on dit !).
Paraît alors « L’appel du large » aux éditions de l’Etrave. Tout étonné par le succès de ce 1er tome, il poursuit sa route de jeune écrivain et publie, cette année, la suite de ses mémoires : « Toujours plus loin »…
Michel Adrien a maintes fois dédicacé ses ouvrages… mais, cette fois, il va prendre le temps de nous raconter son histoire et de répondre à toutes nos questions…
Alors, si vous aimez Noirmoutier, soyez tous là pour l’écouter ! Et, si vous n’êtes pas là, et bien, revenez !!! L’eau est encore à 28° Fahrenheit (euh non, Celsius je voulais dire) et il y a de la place partout pour se garer…
Et si vous n’êtes malgré tout pas là demain, soyez tous là pour la 9ème édition d’ « Eclats de Lire », notre petit salon jeunesse de la Toussaint, les 26, 27 et 28 octobre aux Salorges : cette année, plein de jolis livres « so Vintage » seront mis en avant !
On vous joint l’affiche pour vous allécher et pour que vous en parliez à vos propres poissons rouges (même si ce ne sont pas des turbots) et tous leurs copains, comme d’habitude !
Allez, portez-vous bien, et merci encore et toujours de votre gentillesse et de votre fidélité !
Bénédicte & Vincent
ps : et si vous n’êtes vraiment jamais là, alors… on vous déshérite (et ça ce serait vraiment dommage pour vous, vous pouvez me croire…)
ps2 : y’en a pas (je fais un break)